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samedi 19 novembre 2016

La Confrérie de la Dague Noire, Tome 13 : L'amant des ombres de J.R. Ward

 
Éditeur : Milady
Sortie : 25 mai 2016
648 pages






Deux frères liés plus que par le sang luttent pour changer un destin brutal.












Trez "Latimer" n'existe pas vraiment. Et pas seulement parce que cette identité a été créé dans le but qu'une Ombre puisse opérer dans le monde humain. Vendu par ses parents à la Reine des S'Hsibe lorsqu'il n'était qu'un enfant, Trez s'est échappé et est un souteneur et un homme de main à Caldwell depuis des années. Tout en fuyant un destin de servitude sexuelle.
Il n'a jamais eu personne sur qui compter...à part son frère, iAm. Le seul but d'iAm a toujours été de protéger son frère de son comportement auto-destructeur et il sait qu'il a échoué. Ce n'est que lorsque l’Élue Serena entre dans la vie de Trez que le mâle reprend sa vie en mains...mais à ce moment, il est trop tard. La promesse d'épouser la fille de la Reine arrive à échéance et il n'y a nul endroit où fuir, nul endroit où se cacher et aucune négociation possible.

Piégé entre son cœur et un destin qu'il n'a jamais voulu, Trez doit décider s'il met en danger, lui et les autres, ou abandonner pour toujours la femelle dont il est tombé amoureux.

Mais alors une tragédie inimaginable survient et change tout. Au bord d'un abysse émotionnel, Trez doit trouver une raison de continuer ou risquer de perdre son âme pour toujours. Et iAm, au nom de l'amour fraternel, fait face à l'ultime sacrifice...



 Cliquez sur la couverture pour lire les autres chroniques de la série.

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 https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhnNgCZD4G3VsHxWrmsqtS1nYZZFW2DD31czbKDVrqihysGg3r98EFdt61oTvxgwiyy-20HseuG_XBPuDFqpPoEeNDIsA8pdmoD6TGJd0aBj7ACxGQ2oHZTiub6i7MbF5mQZhyphenhyphenRQPutR91N/s200/ward.jpg
Née dans le Massachusetts, Jessica Rowley Pell Bird tenait un journal intime et écrivait quantité des nouvelles pendant son enfance. L'été avant son entrée à l'université, elle écrivit son premier roman, une histoire d'amour. Diplômé d'histoire de l'art et d'histoire avec une spécialisation sur le Moyen Age, elle suit ensuite un cursus de droit et travaille dans la santé : elle passe ainsi plusieurs années à la tête du personnel d'un des premiers centres universitaires médicaux du pays.

Pendant longtemps, elle écrivit seulement pour son plaisir mais a toujours consideré qu'une journée idéale serait celle passée en face de son ordinateur en compagnie de son chien et avec une tasse de café. Un jour, son mari réussit à la convaincre de trouver un agent et Leaping Hearts est publié. Elle écrit sous deux nom. Elle a signé plusieurs romans "isolés" sous le nom de Jessica Bird qu'elle utilise aussi pour la série The Moorehouse Legacy. Sous son nom de plume J.R. Ward, elle a imaginé un cycle autour d'une confrérie mystérieuse : La Confrérie de la dague noire. Auteur de nombreux best-sellers, J.R. Ward a rédéfini les régles de la romance érotique sur fo


Voilà, je viens de finir le tome 13 ...mais pourquoi suis-je autant frustrée ?

Je vous le dis tout de go, j 'ai aimé retrouver les aventures des frères de la Confrérie de la Dague noire mais celui-ci est loin d'être le meilleur.

Pourquoi ?

Je suis restée hermétique au mélodrame qui s'est joué entre Séléna et Trez. Je l'ai trouvé ...Too much.

Quant à la romance de iAm, son jumeau, je n'y ai pas cru du tout..

Leurs histoires sont parsemées de ressors artificiels et de clichés sans saveurs. C'est dure comme point de vue mais j'ai tellement eu l'habitude d'être scotché à ma lecture avec J.R. Ward .
Il y a toujours des phrases comme seule sait en produire (cette auteure géniale) qui font mouche mais l'ensemble manque de consistance. Il faut dire que je n'avais jamais été sensible aux Ombres que l'auteure n'a mis en avant que très tard dans la série. Ils ont toujours été des personnages secondaires et leur mise en avant m'a semblé raté.

Après l'intérêt sur tel ou tel personnage est très subjective....

Ce que je trouve plus embêtant c'est le traitement fait aux membres de la Confrérie que j'ai appris à BEAUCOUP apprécié. Ainsi Rhage ...mais AU SECOURS que lui arrive-t-il ?

J'ai eu l'impression que sa personnalité avait changé du tout au tout et le changement estt loin de me convenir ! Il faut dire que le tome qui lui était consacré est l'un de mes préférés. Je pense que ceux qui aime ce personnage seront déçus de sa progression dans la série. Le prochain tome lui est consacré et franchement j'ai peur !

Sans suprise, la chose que j'ai adoré, c'est la romance entre Xcor et Layla qui est loin d'être l'élément central de ce roman mais les moments sont quand même fréquents et réussis. C'est leur histoire qui me frustre autant car j'aurais aimé que tout ça avance un peu...

Bref j'ai trouvé que les personnages étaient moins soignés que d'habitude. Je suis un peu déçue de ce point de vue là. L'histoire en elle même aurait méritée un peu plus de piment. J.R. Ward a quand même su garder des atouts dans sa manche avec notamment le devenir de mon couple chouchou Xcor et Layla !

Une suite qui ne m'aura pas convaincue par sa qualité mais je reste toujours accroc à la Confrérie !



— J’ai vu ce qui est arrivé en ville. Et il fallait que je…
— Comment cela ? Vous êtes venue jusqu’ici pour voir si j’étais mort, ce qui vous aurait délivrée de votre obligation ?
Elle ne répondit pas, si bien qu’il étouffa un rire et regagna le canapé.
— Pardonnez-moi, mais je dois m’asseoir.
Il avait parfaitement conscience que la femelle ne le lâchait pas du regard. Et nul doute que son ouïe fine saisit le gémissement de douleur qu’il s’efforça de son mieux de dissimuler quand il s’assit.
— Vous devriez aller voir un médecin.
Xcor éclata de rire et avala une nouvelle gorgée d’alcool.
— Vous croyez que cela exige des soins ? La Confrérie de la dague noire doit avoir des critères différents des nôtres concernant la gravité des blessures. J’ai reçu bien pire au cours des siècles. Ce n’est rien d’important, rien qui ne soit réparé d’ici à la nuit prochaine.



— Quand vous êtes-vous nourri pour la dernière fois ?
Brusquement, il se raidit.
— Êtes-vous en train de m’offrir votre veine ?
Comme le regard de l’Élue virevoltait soudain partout dans la maisonnette en prenant soin de l’éviter, lui, il laissa de nouveau échapper un léger rire.
— Je vais prendre ça pour un non. En outre, vous avez déjà aidé et soutenu l’ennemi une fois, et nous savons tous les deux comment cela a tourné.
— Pourquoi me tourmentez-vous ?
Il but encore une gorgée, qu’il avala avec difficulté.
— Parce que j’en ai envie. Et je suis un salopard, vous vous rappelez ? Un salopard qui vous force à subir sa présence nuit après nuit alors que vous portez l’enfant d’un autre mâle.
— Vous souffrez.
— En fait, depuis que vous êtes là, plus du tout.
Cela la fit taire un moment.
Puis il fut stupéfait de la voir s’avancer vers lui et s’approcher du canapé… parce que, à mesure qu’elle progressait, elle remontait la manche de son bras droit.
— Que faites-vous ? demanda-t-il.
— Je vais vous donner ma veine.
Elle s’arrêta devant lui. Assez près pour qu’il l’attrape. Assez proche pour que, s’il le souhaitait, il l’attire sur ses genoux et trouve ses seins avec ses mains, sa bouche.
— Vous êtes en plus mauvais état que vous le pensez.
— Oh oui ! rétorqua-t-il d’un ton mauvais. Vous avez raison. Mais pas à cause de mes blessures.
Elle lui tendit son poignet.
— Vous avez été percuté par un véhicule de la Confrérie, n’est-ce pas ?
— Alors vous avez le sentiment de m’être redevable ? Voilà un intéressant basculement de loyauté.
— Donc vous ne le niez pas.
— Je n’arrive pas à comprendre vos motivations, femelle. Vous n’étiez pas à l’aise à l’idée de les trahir jusqu’à présent. Qu’est-ce qui a changé ?
— Vous ne les avez pas attaqués ce soir, n’est-ce pas ? Vous avez eu l’occasion, lors de cette fusillade, de poursuivre les membres de la Confrérie, mais au lieu d’ordonner à vos soldats de cibler Manny et Rhage, ou les autres frères qui se trouvaient là-bas, vous avez quitté les lieux sans blesser aucun d’entre eux.
Oui, se dit-il. Il avait supposé que l’ambulance appartenait aux frères.
Il avait saisi l’odeur d’une dématérialisation à l’extérieur du véhicule, et aucun autre groupe de vampires ne pouvait se permettre un tel luxe.
Xcor éclata d’un rire dur.
— N’avez-vous jamais entendu parler d’instinct de conservation ? Si j’étais aussi mal en point que vous le croyez, alors je suis parti pour sauver ma peau.
— C’est des conneries. Je connais votre réputation. Vous avez eu une chance ce soir et vous ne l’avez pas saisie. En fait, vous avez eu l’occasion d’attaquer notre complexe depuis bientôt un an et vous n’avez rien fait.
— Dois-je vous rappeler la nature de notre arrangement ? lui demanda-t-il d’un ton las. Vous vous pointez pour satisfaire mes yeux, et je ne les massacre pas.
— Une promesse faite à une femelle ne vous arrêterait jamais. Vous êtes le fils du Saigneur.
Oh ! mais une promesse faite à vous, si, se dit-il.
La voix de Layla se raffermit.
— Vous n’allez pas les agresser, n’est-ce pas ? Ni ce soir. Ni demain. Ni dans un an. Et pas parce que j’accepte de vous rencontrer, autrement, vous en auriez tué un ou plusieurs dans les ruelles ce soir. Cette situation était bien hors du cadre de notre agrément, n’est-ce pas ?
Quand il la dévisagea, son regard était si perspicace qu’il se sentit diminué, et pas parce qu’il était assis et elle debout.
— Quelle qu’en soit la raison, ils ne représentent plus une cible, non ? reprit-elle. N’est-ce pas ?

nd de paranormal.