menu 2

gfMes dernières chroniques


mercredi 21 mai 2014

Psi-Changeling Tome 8 : Lié par l'honneur de Nalini Singh






Prends soin de mon cœur veux-tu, Sophie ? Ça me fait un peu bizarre de ne plus l'avoir dans mon corps... mais j'ai l'intention de te voler le tien pour compenser.








Le résumé :
Max Shannon est un bon flic, l'un des meilleurs à New York exécution. Né
avec un bouclier naturel qui le protège contre les invasions Psy mentale, il sait qu'il a peu de chances d'avancement au sein de la structure du pouvoir Psy-dominé. Le dernier cas, il s'attend à être affecté est celui d'un meurtrier ciblant plus proches conseillers un conseiller Psy. Et la dernière femme qu'il s'attend à le contraindre à la plus sensuelle des façons est un Psy sur le point de rupture catastrophique mentale ...

Sophia Russo est un juge-Psy, maudit avec la possibilité de récupérer les souvenirs des hommes et des femmes afin tordues même flics vétérans garder leurs distances. Nommé en tant que liaison de Max avec le Psy, elle se retrouve fasciné par cet humain, son cœur gelé menace pour dégeler avec émotion interdite. Mais, l'esprit rempli de cauchemars d'autres personnes, le mal des autres, elle se tient à la frontière entre la santé mentale et une obscurité soie qui la pousse à prendre la justice dans ses propres mains, pour devenir juge, jury et bourreau ... ...


L'avis :
J'aime beaucoup Nalini Singh, surtout cette série mais là je dois dire que je me suis ennuyée ferme. J'avais une impression de déjà vu tout le long des pages. La tournure des phrases, les sentiments des personnages, leur relation.
J'espère vraiment que les tomes suivants seront un peu plus originaux car là en tombe dans la suite inutile.


L'extrait :
Je suis peut-être fracturée, dit-elle avec franchise, mais je n’ai pas un tempérament soumis.
Il se sentit esquisser un sourire ravi.
— Ai-je dit que je voulais une femme soumise ? Je veux simplement m’assurer que tu ne t’attends pas toi non plus à ce que je le tu ne t’attends pas toi non plus à ce que je le sois.
— Sais-tu comment je te vois ? demanda-t-elle d’une voix rauque. Comme un tigre qui a décidé de se tenir tranquille pour l’instant… je ne suis pas stupide au point d’essayer de te mettre en laisse.
Sa virilité s’apaisa à cette cajolerie verbale.
— Je t’apprendrai à m’amadouer, murmura-t-il en déposant avec douceur un unique baiser au creux de son cou. Quand tu veux.
Frissonnante, elle laissa échapper un long soupir, la peau scintillante de chaleur.






L'extrait :
« Ce ne sont pas les circonstances qui façonnent un homme. J'aurais sinon commis mon premier cambriolage à douze ans, mon premier vol à quinze, et mon premier meurtre à dix-sept. »
Extrait des notes privées du détective Max Shannon

Alors qu'elle était assise face à un sociopathe, trois vérités indéniables s'imposèrent à l'esprit de Sophia Russo.
La première : selon toute probabilité, il lui restait moins d'un an avant d'être condamnée à la rééducation totale. Contrairement au processus classique, celui-ci n'allait pas simplement la dépouiller de sa personnalité et faire d'elle un légume. Ceux qu'on soumettait à la rééducation totale perdaient aussi quatre-vingt-dix-neuf pourcent de leurs sens psychiques. Tout cela dans leur propre intérêt, bien entendu.
La deuxième : pas une seule personne sur Terre ne se souviendrait de son nom une fois qu'on l'aurait démise de ses fonctions.
La troisième : si elle ne se surveillait pas, elle deviendrait bientôt aussi vide et inhumaine que l'homme de l'autre côté de la table... car « l'alter ego » qui vivait en elle avait envie de lui compresser l'esprit jusqu'à ce qu'il gémisse, jusqu'à ce qu'il saigne, jusqu'à ce qu'il la supplie de l'épargner.
« Le mal est difficile à cerner, mais il est assis dans cette pièce. »
L'écho des paroles du détective Max Shannon la sauva de l'abîme qui menaçait de l'aspirer. Pour une raison qui lui échappait, l'idée que cet homme puisse la considérer comme un être maléfique lui paraissait... inacceptable. Il ne l'avait pas regardée de la même manière que les autres humains ; il avait remarqué ses cicatrices, mais sans les dissocier du reste de son corps. Ça l'avait suffisamment perturbée pour qu'elle soutienne son regard et tente de deviner à quoi il pensait.
Elle n'y était pas parvenue. Mais elle savait ce que voulait Max Shannon.
« Seul Bonner sait où il a enterré les corps... il nous faut cette information. »